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Digi Belgique, le désormais 4e opérateur télécom sur le marché belge, lancera ses offres commerciales à l'été prochain. Lors de l'inauguration jeudi de son siège dans l'hypercentre de la capitale, à deux pas du parlement bruxellois, son directeur général Jeroen Degadt a promis des "prix jamais vus" au bénéfice des consommateurs. Il assure en outre que l'entreprise est là "pour longtemps". Digi Belgique est le fruit d'une co-entreprise entre le groupe télécom d'origine roumaine Digi et les entreprises belges Citymesh et Cegeka. Il entend "secouer le marché" dès son lancement en associant des prix équitables et abordables à un réseau fiable et un service clientèle de qualité.<br><br>Cela alors que les tarifs télécoms sont plus élevés en Belgique que dans les pays voisins, comme l'a déjà souligné le régulateur du secteur, l'IBPT, et l'a rappelé la ministre fédérale des Télécommunications Petra De Sutter, présente pour cette inauguration.
Bruxelles - La balle est dans le camp de Jeroen Degadt, qui deviendra le directeur général de l'opérateur de télécommunications DIGI Belgium. Après des lancements réussis en Roumanie, en Italie, en Espagne et au Portugal, Jeroen gérera l'expansion belge. Et il a besoin d'aide pour cela. Dans les mois à venir, plus de 100 postes différents seront à pourvoir chez DIGI Belgium. Une raison de plus pour entrer dans la tête de Jeroen.
DIGI Belgium, le nouvel et quatrième opérateur mobile de notre pays, conclut un accord d'itinérance nationale avec Proximus et acquiert des sites d'antennes. Ceci facilitera le lancement de Digi en 2024.
DIGI deviendra le nouvel opérateur de télécommunications mobiles grand public à part entière dans notre pays. C'est ce qui ressort de la vente aux enchères des fréquences 5G en Belgique. L'entreprise est un partenariat surprenant entre le spécialiste belge des télécommunications Citymesh et le Roumain Digi Communications.
La nouvelle de l'arrivée d'un nouvel opérateur de télécommunications mobiles suscite immédiatement l'espoir d'une baisse des prix des appels mobiles et du surf. En effet, une étude de l'IBPT, l'organisme belge de surveillance des télécommunications, révèle que nous ne faisons pas encore aussi bien que les pays voisins dans ce domaine. Cet espoir d'amélioration est-il justifié ? Voici ce que disent les chiffres.